Un rêve de bonheur qui souvent m'accompagne,
C'est d'avoir un logis donnant sur la campagne,
Près des toits, tout au bout du faubourg prolongé,
Où je vivrais ainsi qu'un ouvrier rangé.
C'est là, me semble-t'il, qu'on ferait un bon livre.
En hiver, l'horizon des coteaux blancs de givre;
En été, le grand ciel et l'air qui sent les bois;
Et les rares amis, qui viendraient quelquefois
Pour me voir, de très loin, pourraient me reconnaître,
Jouant du flageolet, assis à ma fenêtre.
François Coppée
Jouant de l'aiguille, assise à sa fenêtre ... dirait-on de Marie Louise : Poésie, Nostalgie que je partage.
RépondreSupprimerJolies photos hivernales !
RépondreSupprimerBises enneigées.
Pourrais je transformer cette poésie en réalité,que je
RépondreSupprimern'hésiterais pas une seconde.
Le bonheur!
Amicalement
j'admire la patience de la personne qui a brodé le chateau,la poésie est pleine de nostalgie,les photos adéquates,merci pour tout,Anne
RépondreSupprimerJ'aime j'aime.
RépondreSupprimertrès joli par chez vous!
RépondreSupprimeralors moi ok mais pas à la campagne lol bisous
RépondreSupprimerMagnifiques ces photos... Belle soirée.
RépondreSupprimerDe très jolies vues comme je les aimes
RépondreSupprimerBonne journée
Bise